Iyashi-Dôme

Séances de Iyashi-Dôme

Le Iyashi-Dôme est un sauna japonais à infrarouges lointains, à faible température comparativement à un sauna classique (42° maximum), permettant l’élimination des toxines, notamment des métaux lourds, ainsi qu’une relaxation profonde et le renforcement des défenses naturelles.

Hygiène et Bien-être : pour une détox douce et profonde : découvrez le concept nouveau et unique du IYASHI DOME…

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Le milieu dans lequel nous vivons subit de multiples dégradations. Par répercussion, nous sommes aussi victimes de la pollution atmosphérique et nutritive (eau, alimentation,…) Des allergies se développent, une fatigue intellectuelle dont on peine à se débarrasser, des maux de tête accrus, une peau terne, les pores de la peau se bouchent, la cellulite s’incruste et la silhouette s’empâte.

Aujourd’hui, même en pratiquant très régulièrement une activité sportive, la transpiration générée est largement insuffisante, et sans aucune qualité d’évacuation des toxines et métaux lourds.

Le IYASHI DOME est un caisson de sudation intense. Il suffit de se glisser dans le caisson pour un programme de 30 minutes, ce qui favorise l’élimination des métaux lourds, toxines et graisses que nous stockons chaque jour à travers l’alimentation, la pollution atmosphérique et chimique, l’eau…

Sans agresser le corps, grâce à des rayons infrarouges particuliers, il le nettoie en profondeur, entraîne sa détoxination, l’affine et l’équilibre durablement.

Depuis de nombreuses années, la chaleur infrarouge est utilisée au Japon où les premières cabines à infrarouges ont été conçues en 1967, puis à partir de 1979 elles ont été commercialisées et mises à la disposition du grand public.

Les effets en profondeur des rayons à infrarouge stimulent les processus métaboliques, accélèrent le processus de rééquilibrage et augmentent la résistance générale.

Comment le IYASHI DOME permet-il de se détoxiner ?

La transpiration est la façon par excellence d’éliminer les accumulations de substances toxiniques polluant notre organisme. Mais, même en pratiquant le sport de façon intensive, c’est principalement de l’eau et des sels qui se sécrètent et, uniquement dans une petite mesure des graisses, porteurs des substances toxiques.

En effet, il existe deux types de transpiration :

Catégorie 1 :
Celle qui s’effectue par les glandes sudoripares que l’on active par la pratique du sport, par le sauna classique et le hammam.
La composition de la transpiration est très proche de celle de l’urine : chlorure de sodium, acide urique, ammoniaque, acides aminés, potassium, créatine, urée, eau…

Catégorie 2 :
Celle qui s’effectue par les glandes sébacées et apocrines. Que l’on active par la pratique d’un sport intensif (par exemple la pratique d’une course à pieds de 30 km. En effet, jusqu’à 20 km courus, le corps produit une transpiration de catégorie 1. Entre 20 et 30 km, le corps commence à puiser dans ses réserves de graisses profondes pour les transformer en énergie. La transpiration est alors de catégorie 2.)

Cette transpiration est composée de graisse, de cholestérol, d’acides graisseux, d’acide lactique, de graisses provenant des tissus sous-cutanés, d’oxygène actif et de traces de métaux lourds emmagasinés par le corps comme le mercure, le cadmium, la dioxine ou le plomb… Les substances les plus toxiques se fixent dans les graisses et le cholestérol de l’organisme. Les métaux lourds sont éliminés progressivement par la transpiration des glandes sébacées et apocrines produite par l’action des infrarouges longs.

Des bienfaits immédiats :

  • Elimination des toxines et des métaux lourds
  • Relaxation profonde
  • Raffermissement des tissus
  • Purification intérieure
  • Équilibre de la circulation
  • Régénération cutanée

Un peu d’Histoire…

Retourner à la source…
Au Japon, il existait traditionnellement une forme de cure pour éliminer les toxines : le Suna Ryoho. Depuis plusieurs siècles, en été, les japonais s’enterraient dans le sable chaud de certaines zones de sources d’eau chaude au bord de la mer pour éliminer les toxines de leur corps. Ces lieux très spécifiques alliaient différents composants ; la chaleur était diffusée par la terre et le soleil et chauffait un sable aux propriétés particulières qui comportait de sel marin.

Le corps éliminait alors par sudation les toxines accumulées. Quand un endroit venait d’être utilisé pour ces soins, il était ensuite soigneusement évité pendant plusieurs jours à cause de la présence des toxines qui pouvait provoquer des maux de tête et des malaises.

(Ce phénomène ne se produit pas lors d’une séance de IYASHI DOME grâce à la technologie Céramique / Titane qui a la faculté de décomposer les toxines).

De la découverte de l’infrarouge…

Les infrarouges lointains existent au moins depuis la naissance du soleil et sont une source vitale pour le développement des végétaux et par extension de toutes les matières organiques.

En 1800, William Herschel, un astronome anglais d’origine allemande menait une étude afin de découvrir quelle couleur du spectre solaire (couleurs de l’arc-en-ciel) était source de chaleur.
Très rapidement, il distingua la couleur rouge comme étant la zone du spectre qui agissait le plus sur le mercure.
C’est un peu par hasard, en posant son thermomètre en dehors de la lumière, que William Herschel remarqua que c’était en dehors du spectre visible que le réchauffement des objets était le plus conséquent. Il nomma tout d’abord cette radiation invisible “rayon calorifique”.
Aujourd’hui, nous appelons ce rayonnement naturel l’infrarouge.

…à l’usage militaire puis médical…

En parallèle, dans les années 50, les infrarouges sont déjà utilisés à des fins militaires aux Etats-unis et la NASA décèle des ondes indispensables au métabolisme, à la croissance et la formation des corps vivants : les “rayons de croissance”.
Entre 1945 et 1947, le gouvernement japonais investit dans la recherche afin de déterminer quels allaient être les effets des deux bombes atomiques que le peuple japonais avait subies. Ces deux bombes étaient d’origine différentes (uranium et plutonium). Les résultats ont témoigné de la déformation des cellules, d’où les malformations physiques constatées sur ceux et celles qui avaient survécu à l’explosion.
La question était maintenant de trouver le système permettant la régénération des cellules pour remédier à ces lourds effets secondaires.
Au Japon, dans les années 60, sont créés les premiers appareils à émission d’infrarouges lointains à partir de la céramique.
Ces rayons sont des ondes à infrarouges lointains de 8 à 14 micromètres. Sans ces ondes, les végétaux et les animaux ne peuvent se développer ni se régénérer.
En 1998, le Laboratoire Techno Research Shimazu (Koichi Tanaka, chercheur, reçoit le prix Nobel de chimie en 2002) décèle pour la première fois de la DIOXINE dans la sueur d’un sujet ayant passé 30 minutes dans l’appareil du professeur OHNO.

Depuis quelques années, les études se poursuivent avec le Professeur OHNO sur la canalisation des HSP 70 (protéine de choc thermique) à l’aide des lymphocytes à l’issue d’un traitement par infrarouges lointains, avec l’aide de médecins tels que YUKO ITOH (Centre de Médecine Nucléaire rattaché à la Faculté de Médecine de l’Université d’Aichi), KENJI TAZAWA (Faculté de Médecine de l’Université de Médecine et de Pharmacie de Toyama), OGAWA KOHEI (Etablissement International de Santé du Département de Toyama)…

Cet outil d’hygiène, beauté et bien-être est utilisé également aux USA, Brésil, Espagne, Chine, Corée, Taiwan…

C’est inspiré de l’ensemble de ces recherches que le IYASHI DOME est né.

Nouvelle étude scientifique réalisée par un groupe de médecins à propos des bénéfices anti-âge du Iyashi-Dôme :

  • une meilleure hydratation de la peau (jusqu’à +112% d’hydratation de la peau du visage)
  • une peau plus souple et embellie (jusqu’à + 60% d’élasticité sur le visage)
  • et surtout un effet notable dans la réduction des rides sur le corps et le visage (jusqu’à – 18% de réduction des rides)

Découvrez les résultats de l’étude scientifique de Juillet 2014 portant sur les effets anti-âge du Iyashi-Dôme